10 bonnes raisons de ne pas valoriser ses biodéchets (et pourquoi les reconsidérer)

10 (fausses) bonnes raisons de refuser la valorisation de vos biodéchets

Valoriser ses biodéchets ? Ce n’est pas votre priorité du moment. Vous avez mille et une raisons de ne pas vous lancer, et vous les connaissez par cœur.

Mais prenons un instant pour les examiner ensemble. Juste pour voir. Parce que parfois, derrière une « bonne » raison, se cache une excellente excuse… et une belle opportunité ratée.

Voici donc, sans filtre compostable, les 10 objections qu’on entend (presque) tous les jours – et pourquoi il est peut-être temps de les retourner dans tous les sens, comme un bon tas de compost.

1. « C’est trop cher »

Ah, le nerf de la guerre. Valoriser ses biodéchets, ce serait un luxe réservé aux grandes enseignes avec un budget RSE indécent. Sauf que… c’est faux.

Ce qu’on oublie :
Les biodéchets non triés finissent dans les ordures ménagères. Et savez-vous ce que vous payez pour ça ? Une taxe (TGAP) qui grimpe, et ce n’est pas fini. Sans compter que vos déchets alimentaires sont de l’eau à 80 %, donc vous payez surtout pour transporter… de l’humidité.

Et si on retournait la logique ?
Valoriser, c’est aussi réduire le poids de ses déchets résiduels, donc ses coûts de collecte. Et ça ouvre la porte à des réductions sur la taxe d’enlèvement (quand la collectivité joue le jeu). En somme, un coût… qui peut devenir un levier d’économies. 🤑

2. « Je n’ai pas le budget cette année »

Et puis il y a cette autre variante : « On est à la fin de l’exercice ». Le fameux moment où tout projet devient suspect. Comme si bien gérer ses déchets ne pouvait attendre qu’un alignement des astres budgétaires.

Mais…
Beaucoup de solutions sont flexibles. Chez Hector, par exemple, pas de frais d’installation à 5 chiffres ni de contrat plombé sur 10 ans. On peut démarrer à petite échelle, sur un site pilote, pour tester sans pression financière. Bref : les entreprises de toutes tailles peuvent commencer malin, sans attendre la Saint-Budget.

3. « Je ne suis pas décisionnaire »

C’est vrai, vous n’êtes pas le ou la DG. Vous avez d’ailleurs autre chose à faire que de porter un projet de tri des biodéchets sur vos épaules. Et puis, ce n’est pas dans votre fiche de poste.

A votre échelle, vous pouvez faire bouger les choses !
La réalité, c’est que les projets de transition écologique démarrent souvent par le terrain. Un agent de cuisine, un agent technique, un responsable QHSE… qui s’indigne de voir tant de gaspillage. Et qui ose en parler.

Et si vous étiez cette personne ?
Vous seriez surpris(e) de voir à quel point un simple e-mail ou une idée bien formulée peut faire bouger les lignes. Hector est d’ailleurs là pour vous accompagner dans cette démarche (oui, même en réunion avec votre direction).

4. « La ville / collectivité doit s’en charger »

C’est vrai, la loi impose aux collectivités de mettre en place des solutions pour les particuliers. Mais pour les professionnels ? C’est une autre histoire.

On vous a raconté des salades 🤭
Depuis janvier 2024, tout producteur de biodéchets, même en faible quantité, est tenu de les trier et de les faire collecter en filière dédiée. C’est votre responsabilité, pas celle de la mairie.

Pas envie de gérer ?
Des prestataires existent pour ça. Hector, par exemple, s’occupe de tout : bacs, collecte, suivi, reporting. Vous avez juste à trier, et à dire à vos clients que vous agissez pour la planète. 🍽️🌍

5. « On ne produit pas assez de biodéchets »

Un petit commerce, un café de quartier, une crèche : difficile de rivaliser avec les tonnages d’un supermarché. Mais est-ce une raison pour ne rien faire ?

Faisons les calculs :
Même 30 kg par semaine, c’est 1,5 tonne par an. Et c’est autant de matière organique qui pourrait nourrir des sols appauvris, produire du compost ou de l’énergie renouvelable.

Et la collecte urbaine dans tout ça ?
Chez Hector, on cible justement ces petits et moyens gisements, en mutualisant les tournées avec d’autres établissements. Votre petite quantité devient alors une partie d’un grand impact environnemental collectif.

6. « Ce n’est pas encore obligatoire »

Autrement dit : tant que je ne reçois pas une amende, je ne bouge pas. On connaît bien. Et pourtant…

La loi c’est la loi 😎
Depuis le 1er janvier 2024, la loi AGEC a élargi l’obligation de tri à la source des biodéchets à tous les professionnels, sans seuil minimal. Les contrôles commencent à se structurer, notamment dans les zones urbaines.

Mieux vaut prévenir que (verbaliser)
Se mettre en conformité, c’est éviter des ennuis demain, tout en valorisant son image aujourd’hui. Parce qu’être proactif en RSE, ça se voit, et ça compte.

7. « On trie déjà les emballages, ça suffit »

Tri sélectif, cartons aplatis, bouteilles plastiques : vous êtes déjà exemplaire, alors pourquoi en faire plus ? Parce qu’il manque une pièce au puzzle.

Pourquoi c’est vraiment important de trier ses biodéchets ? 
Les biodéchets représentent un tiers de nos poubelles. Sans leur séparation, le tri du reste est moins efficace, plus humide, et finit souvent incinéré.

Triez mieux, triez complet
Mettre les biodéchets à part, c’est améliorer tout le système de gestion des déchets. Moins d’odeurs, de nuisibles, de sacs percés. Et plus de matières valorisables.

8. « On verra plus tard »

L’argument roi de la procrastination écologique. On sait qu’il faut s’y mettre, mais pas maintenant. Pas cette semaine. Peut-être à la rentrée. Ou en 2026.

Mais le temps passe vite ! 
Chaque jour de retard, ce sont des kilos de déchets gaspillés, des opportunités manquées. Et plus vous attendez, plus le changement paraît compliqué.

Et si c’était plus simple que prévu ?
Chez Hector, la mise en place se fait en quelques jours. Bacs, signalétique, formation du personnel, suivi… Tout est clé en main. Le plus dur, finalement, c’est de dire oui.

9. « Nos concurrents ne le font pas »

L’argument du mouton égaré : tant que les autres ne bougent pas, pourquoi faire le premier pas ? Sauf que…

Que vous dire ?
Être pionnier, c’est se démarquer. Vos clients, usagers ou patients voient votre engagement. Vos équipes s’en inspirent. Et en général, ce sont les autres qui finissent par vous suivre.

La preuve par l’exemple :
À Toulouse, Montpellier ou à Paris, nombre de commerces, écoles et entreprises inspirantes ont déjà franchi le cap avec Hector. Et n’ont pas regardé en arrière.

10. « C’est trop compliqué à mettre en place »

Changer les habitudes, organiser la collecte, former le personnel… Cela semble un casse-tête logistique. Mais est-ce vraiment le cas ?

C’est pourtant si simple…nos devis sont tellement clairs !
Des prestataires spécialisés s’occupent de tout, de la première réunion jusqu’aux rapports mensuels. Pas besoin de tout repenser. Juste d’ajouter un bac (et un peu de pédagogie).

Et surtout : vous n’êtes pas seul.
Avec Hector, vous bénéficiez d’un accompagnement personnalisé, d’un interlocuteur dédié, et d’outils adaptés à votre activité. L’objectif ? Que la valorisation de vos biodéchets devienne aussi simple… que de jeter un trognon de pomme 🍏.

Et si la vraie bonne raison, c’était d’agir ?

Derrière chaque objection, il y a une peur, une contrainte, un doute légitime. Mais aussi une solution. Valoriser ses biodéchets n’est pas une lubie écolo ou une charge de plus : c’est une manière responsable, économique et positive de gérer ce qu’on jette.

Et comme dirait l’autre : « La vraie RSE, ce n’est pas dans vos slides, mais sur le terrain » 😉

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Restaurants, entreprises, commerces de proximité, coworking, Hector collecte tous les biodéchets des professionnels à Toulouse pour les valoriser et les transformer en énergie verte. Alors, à quand votre tour ?
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